23 juillet 2006
J’écoute five leaves left de Nick Drake
et bien évidemment, tout le monde trouve ça au mieux chiant, au pire suicidaire alors que ce chef d’œuvre absolu brille, scintille comme une beauté évidente et douce, fatiguée par les automnes. Confondre douceur avec neurasthénie, mélancolie avec suicide....